Du fond de mon poitrail
J’écoute mon cyborg cœur
Qui actionne à mon corps
Note fictive en limaille.
Émergeant du silence
Que recouvre souvent
L’ambiguïté d’un son
Inconnu, quand ça danse.
Surgit-elle d’un ton
D’effigie pas très muette
En sa forme fluette,
Fulgurance d’un son ?
Quelle danse la mute,
Pipo épousant flûte,
Signe aux notes visibles ?
Qui s’arme en flûte active,
Que j’écoute invisible ?
Est-ce note fictive ?
Claude Ozanne